Raymond Couvègnes

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Cet article est une ébauche concernant un sculpteur français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Raymond Couvègnes
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Ermont (Seine-et-Oise)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Nom de naissance
Raymond Émile CouvègnesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Sculpteur
Autres informations
Distinction

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Chemin de croix de Saint-Pierre
Station du Chemin de croix de l'église Saint-Pierre de Roye.

Raymond Émile Couvègnes est un sculpteur français né le à Ermont[1] et mort le dans le 8e arrondissement de Paris[2]. Il est l'auteur de sculptures monumentales en béton.

Biographie

Il est le fils d'Émile Couvègnes, directeur de la Compagnie des chemins de fer du Nord et historien militaire. Il entre à l'école Bernard-Palissy, puis à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève d'Jean-Antoine Injalbert. Il obtient en 1925 une médaille de bronze ainsi qu'une bourse de voyage au Salon des artistes français[3] puis, en 1927, le premier grand prix de Rome avec le haut-relief, L'Invention de la corne d'abondance.

Il s'est d'abord illustré dans la décoration de nombreuses églises et hôtels de ville des départements dévastés par la Grande Guerre dans le Nord de la France. Il a ensuite été sollicité pour la réalisation de bustes de commande de personnalités puis, après la Seconde Guerre mondiale, par la confection de médaille et la décoration de centrales électriques pour Électricité de France.

Il crée l'école des beaux-arts de Boulogne-Billancourt[Information douteuse], sa ville de résidence, et y enseigne la sculpture jusqu'à sa mort.

Il fut un hôte assidu de Sainte-Maxime.

Œuvres

Ève, fontaine monumentale du Parc de la Butte-du-Chapeau-Rouge.
Tympan de l'église Saint-Martin d'Arvillers.
Sculpture de la façade de l'église Saint-Vaast de Moreuil.
Bas-relief de la façade de l'église Saint-Pierre de Roye.

Sculptures

A l'étranger

En France

Dans la Somme

Médailles

Notes et références

  1. Archives du Val d'Oise, Commune d'Ermont, Acte de naissance no 8, année 1893 (vue 253/380) (sans mention marginale de décès)
  2. Archives de Paris 8e, acte de décès no 385, année 1985 (page 19/22)
  3. René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 329
  4. « Monument à Claude Bernard », À nos grands hommes
  5. « Monument à Claude Bernard », À nos grands hommes
  6. « Eve ou femme au bain », À nos grands hommes

Liens externes

  • « Les expositions universelles de Paris, de 1855 à 1937. », sur expositions-universelles.fr (consulté le )
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • GND
  • Ressources relatives aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AGORHA
    • Bénézit
    • Bridgeman Art Library
    • Delarge
    • Musée d'Orsay
    • RKDartists
  • icône décorative Portail de la France
  • icône décorative Portail de l’histoire de l’art
  • icône décorative Portail de la sculpture