Pôle de conversion
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Le terme de pôle de conversion a été inventé en France en par le gouvernement Mauroy. Il concerne quatorze, puis quinze espaces touchés par la récession de l'industrie (construction navale, charbonnages et sidérurgie)[1].
Leur but est d'aider la conversion et la réindustrialisation de ces territoires où activités et emplois ont été supprimés. La mesure est un échec : il y a quelques créations d'emplois mais ces espaces conservent un chômage élevé.
Liste des pôles de conversion
- Zones portuaires
- Zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer
- Zone portuaire de Dunkerque-Calais
- Chantiers navals de La Seyne et La Ciotat
- Industrie lourde
- Bassin sidérurgique lorrain sud (Nancy)
- Bassin sidérurgique lorrain nord (Longwy-Briey-Thionville)
- Métallurgie de Caen
- Extraction minière
- Bassin d'Albi-Carmaux
- Bassin de Chalon-sur-Saône-Le Creusot-Montceau-les-Mines
- Bassin de Decazeville
- Vallée de la Sambre
- Vallée de la Meuse (Charleville-Mézières)
- Valenciennois
- Zones d'emploi sinistrées
Notes et références
- ↑ Rives nord-méditerranéennes - Les difficultés de la reconversion à La Ciotat et à La Seyne-sur-Mer, 2005
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