Maurice Léna
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Naissance | |
---|---|
Décès | (à 68 ans) Nice |
Nationalité | française |
Formation | École normale supérieure (Promotion 1880 Lettres) |
Activité | Professeur, poète, librettiste |
Conjoint | Marie Chalenton (divorce en 1891) |
Enfant | Jean (1891-1908), sans descendance |
Domaine | Littérature |
---|
Livrets d'opéra : Le Jongleur de Notre-Dame, La Farce du Cuvier, Josiane, La Damnation de Blanchefleur, Dans l'Ombre de la Cathédrale, Nerto, Tristan et Isolde. |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Maurice Léon Léna (1859-1928) est un professeur de lettres classiques, librettiste d'opéras, poète et critique littéraire français[1]. Normalien (Lettres 1881), agrégé de lettres classiques (1885), professeur de classe de Rhétorique aux lycées de Auch (1885), Aix-en-Provence (1885-1888), Marseille (1889), Nîmes (1890-1891), Lyon (Ampère, 1891-1894), puis Condorcet (Paris) et Lakanal (Sceaux) où il termina sa carrière enseignante. Il s'illustra par de nombreux livrets d'opéra et d'opéra-comique[2], dont le plus connu est Le Jongleur de Notre-Dame, sur la musique de Jules Massenet, donné en 1902 à l'Opéra de Monte-Carlo puis à l'Opéra-Comique à Paris (1904), à Chicago (1907) et Buenos-Aires (1915). Parmi ses autres œuvres, on relève Dans l'ombre de la cathédrale (1921) donné à l'Opéra-Comique à Paris en 1921 (musique de Georges Hüe), Nerto (1924) sur un poème de Frédéric Mistral dont il tira le livret (musique de Charles-Marie Widor) et La Damnation de Blanchefleur (1920) (musique de Henry Février.).
Il entretint une abondante correspondance avec le monde musical, en particulier Jules Massenet, ainsi qu'avec le philosophe Maurice Blondel[3], son ami et camarade de la rue d'Ulm (promotion 1881 Lettres).
Il n'eut pas de descendance, contrairement à son frère André Léna (1860-1900), bourguignon comme lui.
Notes et références
Liens externes
- Ressources relatives à la musique :
- International Music Score Library Project
- Carnegie Hall
- Discography of American Historical Recordings
- MusicBrainz
- Ressource relative au spectacle :
- Les Archives du spectacle
- Ressource relative aux beaux-arts :
- AGORHA
- Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Espagne
- Belgique
- Pays-Bas
- Pologne
- Israël
- Tchéquie
- Portugal
- WorldCat
- Portail de la littérature