Combat du bois de Rougé
Date | |
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Lieu | Rougé |
Issue | Victoire des Républicains |
Républicains | Chouans |
• Charles Decaen | • Marie Paul de Scépeaux • Sarrazin • Jean Terrien • Turpin de Crissé • Guillaume Plouzin • Pierre-Michel Gourlet |
inconnues | 600 à 700 hommes |
2 morts 2 blessés | 60 morts[1] (selon les républicains) |
Chouannerie
Coordonnées | 47° 47′ 03″ nord, 1° 27′ 12″ ouest | |
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Le combat du bois de Rougé se déroula lors de la Chouannerie.
La bataille
Après la prise des mines de Montrelais par les chouans, les républicains envoient une colonne commandée par l’adjudant-général Decaen à leur poursuite. Les chouans se sont réfugiés au bois de Rougé d’où ils envoient de petits détachements dans les environs pour se procurer des vivres. Ils remettent également en liberté les soldats républicains capturés à Montrelais, cependant ces derniers rencontrent la colonne de Decaen et lui indiquent la position des rebelles[1].
Grâce à ces renseignements, Decaen attaque les chouans par surprise aux bois de Rougé le à 3 heures du matin, ceux-ci s’enfuient laissant plusieurs blessés que les soldats républicains achèvent. Selon Decaen, les pertes des chouans sont de 60 morts et on relève entre autres 80 fusils et une bannière représentant Saint-Martin[1].
Bibliographie
- Tanneguy Lehideux, Combats d'un Chouan, Terrien cœur de lion, La Crèche : Geste éditions, , 444 p. (ISBN 978-2-84561-509-0).
Références
v · m Chouannerie | |||
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Révoltes paysannes (1792-1793) |
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Virée de Galerne (18 octobre 1793 au 23 décembre 1793) | |||
Chouannerie morbihannaise |
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Chouannerie en Ille-et-Vilaine |
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Chouannerie en Anjou et Loire-Inférieure |
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Chouannerie dans les Côtes-du-Nord | |||
Chouannerie dans la Mayenne |
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Chouannerie normande |
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Chouannerie de 1815 |
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Chouannerie de 1832 |
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