Braches
Pour l’article ayant un titre homophone, voir Brache (affluent de l'Avre).
Braches | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | CC Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat | Stéphane Delanaud 2020-2026 | ||||
Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80132 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 209 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 44′ 01″ nord, 2° 30′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 112 m | ||||
Superficie | 7,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.braches.fr/ | ||||
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Braches est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
Localisation
Communes limitrophes
Mailly-Raineval | Moreuil | |||
Sauvillers-Mongival | N | La Neuville-Sire-Bernard | ||
O Braches E | ||||
S | ||||
Aubvillers | Hargicourt |
Description
Braches est un village périurbain picard de la vallée de l'Avre (affluent de la Somme) dans le Santerre situé à 24 km au sud-est d'Amiens, 11 km au nord-ouest de Montdidier et à 45 km au nord-est de Beauvais, accessible par l'ex RN 35 (actuelle RD 935) reliant notamment Amiens à Montdidier.
La commune est traversée par la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, qui assure la liaison Amiens - Estrées-Saint-Denis, mais la gare la plus proche est celle d'Hargicourt - Pierrepont desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares Amiens et de Compiègne.
Le sol du plateau Brachois est formé du limon des plateaux tandis que les vallées présentent des alluvions tourbeuses. La craie est apparente sur les pentes[1].
Hydrographie
La commune de Braches est au confluent de la rivière la Brache et de l'Avre, un affluent de la Somme.
Une nappe phréatique, située à la fin du XIXe siècle à 15 mètres de profondeur, alimentait alors les puits[1].
Hameaux et écarts
Filescamps est une ferme isolée, qui n'abritait qu'une douzaine d'habitants à la fin du XIXe siècle[1].
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Hauts-de-France et Climat de la Somme.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
Typologie
Au , Braches est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,9 %), forêts (26,6 %), zones urbanisées (4,3 %), zones humides intérieures (2,1 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
En 1050, Braczo est mentionné. Brachum apparaît en 1127, puis Bracheum et Brachium (1185), formes latinisées. En 1224, c'est Brach qui est mentionné, ensuite Brache en 1569.
La Brache, bras de l'Avre qui passe au bas du village semble être à l'origine du toponyme[1].
Histoire
Des cercueils en pierre datant, suppose-t-on de l'époque gallo-romaine, ont été découverts lors des travaux concernant la voie ferrée[1], ainsi que de petites substructions de constructions gallo-romaines[13].
Au Moyen Âge, le fief de Braches a d'abord appartenu à la famille de Gaucourt puis à celle d'Ailly.
Filescamps, d'origine distincte, a relevé d'une famille de Filescamps puis de celle d'Ainval. Le mariage de François d'Ainval, en 1683, avec l’héritière du second fief a réuni les deux territoires[1].
En 1775, un violent incendie ravage le village qui ne comptera ensuite plus qu'une douzaine de foyers[1].
Le village se voit doté d'une gare sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves lors de la mise en service de la section d'Estrées-Saint-Denis à Longueau en 1883. Cette gare est désormais fermée.
Première Guerre mondiale
Le village s'est retrouvé dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale, notamment de la bataille de la Marne pendant laquelle, le , une nouvelle offensive alliée, entre Morlancourt et Braches, inflige un revers sans précédent à l'armée allemande : c'est le « jour de deuil de l'armée allemande », selon l'expression de Ludendorff[14].
Le village et le château de Filescamp sont détruits à l'issue de la guerre[15]. La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [16].
Seconde Guerre mondiale
Le village est également décoré de la Croix de guerre 1939-1945, avec étoile de bronze, après la Seconde Guerre mondiale[17].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[18], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[19], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[20],[21]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[22] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[23] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[24], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 2001 | mai 2020[25] | William Douchet | ||
2020[26] | En cours (au 8 octobre 2020) | Stéphane Delanaud |
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 209 habitants[Note 3], en diminution de 17,72 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
214 | 200 | 241 | 227 | 214 | 261 | 260 | 254 | 241 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
243 | 260 | 266 | 260 | 264 | 254 | 253 | 240 | 227 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
212 | 195 | 193 | 125 | 147 | 131 | 112 | 92 | 140 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
116 | 127 | 108 | 155 | 185 | 201 | 226 | 226 | 223 |
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
254 | 216 | 209 | - | - | - | - | - | - |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[29].)
Enseignement
La commune de Braches est située dans l'académie d'Amiens. Elle dépend de la zone B.
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique qui rassemble Hargicourt, Pierrepont-sur-Avre, Contoire, Braches et La Neuville-Sire-Bernard, qui s'est doté en 2015 d'un centre de loisirs[30].
Autres équipements
La mairie a été agrandie et rendue accessible aux personnes à mobilité réduite en 2017[31].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin. L'église primitive remontait au XVIe siècle[1],[32], elle a été détruite pendant la Première Guerre mondiale[33] et a été reconstruite depuis.
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié. Cette chapelle funéraire a été construite en 1928. Elle a contenu une piéta du XVIe siècle[34].
- Oratoire Saint-Antoine. Un pilier de brique supporte un abri en forme de maison[34].
Personnalités liées à la commune
Urbain Jacques Dominique de Beaurepaire, capitaine au 6e régiment de cuirassiers sous l'Empire (28 novembre 1787 - 3 novembre 1859), chevalier de la Légion d'honneur et de la Croix de Saint-Louis[35], habite, à Braches, le château de Filescamp dont il est propriétaire.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Braches, sur Wikimedia Commons
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie.
- Braches sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Braches (80132) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Braches »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ a b c d e f g et h Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Dacheux, 1899, archives départementales de la Somme, Amiens. Lire en ligne.
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Braches et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- ↑ a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Braches ».
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Photo aérienne de Roger Agache : Petite substruction gallo-romaine », notice no ARR22_sd802081ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- ↑ Éric Labayle, « La seconde bataille de la Marne », Suivi Chronologique, sur grande-guerre.fr, (consulté le ).
- ↑ Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
- ↑ Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17584.
- ↑ Décret du .
- ↑ a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- ↑ « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- ↑ Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- ↑ Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
- ↑ « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- ↑ « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- ↑ « Braches aura un nouveau maire samedi 23 mai », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire actuel, William Douchet, arrête. Mario Petit a obtenu le plus de suffrages dimanche 15 mars, 95 voix sur 102 votants ».
- ↑ « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- ↑ « Hargicourt : Un centre de loisirs en milieu rural avec une vocation intercommunale : Le centre de loisirs d’Hargicourt, une petite commune de 470 habitants près de Montdidier, n’a rien à envier aux structures urbaines », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Cécile Latinovic, « Agrandissement de la mairie à Braches : C’est le gros chantier 2017 à Braches : la réduction du logement communal au profit de la mairie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Braches, d'après nature, 14 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- ↑ Section photographique de l'armée, « Photo : Braches. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 11, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- ↑ a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 223 (ASIN B000WR15W8).
- ↑ « Jacques Dominique Urbain de Beaurepaire », base Léonore, ministère français de la Culture.
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