Alicia Dorado

Cet article est une ébauche concernant l’anarchisme.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Dorado Viso est un nom espagnol. Le premier nom de famille, paternel, est Dorado ; le second, maternel, souvent omis, est Viso.

Alicia Dorado Viso
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
La CorogneVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 25 ans)
La CorogneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
espagnoleVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Anarchiste, boulangèreVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Alicia Dorado Viso, née en à La Corogne et morte assassinée le dans la même ville, est une anarchiste galicienne.

Membre notable de la Fédération anarchiste ibérique (FAI) en Galice, elle meurt assassinée avec son compagnon et d'autres anarchistes lors d'une descente de la Garde civile dans la maison où elle se trouve.

Biographie

Elle naît en . Dorado est en couple avec un autre anarchiste, Julio Acevedo Veiga[1],[2]. Elle semble prendre un rôle de coordination dans la Fédération anarchiste ibérique (FAI), puisqu'elle établit des liens entre des figures du mouvement en Galice[1],[3]. Pendant ce temps, elle est locataire au 6 rue del Carmen à La Corogne, et travaille comme boulangère, après avoir été renvoyée de son métier de tisserande pour ses activités révolutionnaires[1],[3].

Mort

Dorado est chez elle, dans sa maison, où elle cache deux responsables de la FAI quand une descente de la Garde civile s'abat sur le quartier[1],[2],[3],[4]. Elle est dénoncée par une personne prise et torturée[4]. Les gendarmes entrent dans le bâtiment, tirent et tuent tous les anarchistes présents[1],[3],[4]. Son compagnon parvient à s'enfuir après s'être défendu, en s'échappant par un toit, mais il est rattrapé dans une rue voisine et abattu dans le dos[1],[3],[4].

Références

  1. a b c d e et f (es) Carmen Blanco, « Memoria de mujeres en lucha contra el fascismo: de Galicia mártir a Galicia libre », L’Âge d’or. Images dans le monde ibérique et ibéroaméricain, no 13,‎ (ISSN 2104-3353, DOI 10.4000/agedor.5768, lire en ligne, consulté le )
  2. a et b (es) Gemma Malvido| A. Coruña, « Las mujeres que se llevó la guerra », sur La Opinión de A Coruña, (consulté le )
  3. a b c d et e (en) Eliseo Fernández, Antón Briallos et Carmen Blanco, Anarchism in Galicia (ISBN 9781873605127, lire en ligne Accès libre)
  4. a b c et d (es) « Reeditado el libro que desenmascaró al criminal general golpista Queipo / Alicia Dorado, organizadora de una “Casa Refugio”, asesinada en 1937 / Fútbol y antifascismo en Canarias. – PRES.O.S. », (consulté le )
v · m
Personnalités liées à l’anarchisme
Inspirateur de l'anarchisme
Massacre de Haymarket Square
Anarcho-syndicaliste
Communiste libertaire et socialiste libertaire
Anarchiste individualiste
Écologiste libertaire
Pacifiste et antimilitariste
Pédagogue libertaire
Féministe libertaire
Chanteur et chansonnier
Anarcho-punk
Anarcho-capitalisme
Écrivain et/ou philosophe
Historien de l'anarchisme
Outils de recherche
Voir aussi :
  • Palette Anarchisme
  • Palette Anarchisme par zone géographique
  • icône décorative Portail de la politique en Espagne
  • icône décorative Portail de l’anarchisme
  • icône décorative Portail des femmes et du féminisme
  • icône décorative Portail sur la mort